Au moins 140 personnes ont péri dans des troubles dans la région du nord-ouest du Xinjiang en Chine, avec le gouvernement à rejeter la faute sur l'exil, les séparatistes musulmans de la région des émeutes dans les pires années.
Des centaines de manifestants ont été arrêtés, l'agence de presse officielle Xinhua a signalé, après les jets de pierres Uighur personnes dans les rues de la capitale de la région, le dimanche, et brûlé des véhicules et à s'attaquer à rompre les rangs de la police anti-émeute.
Les troubles en évidence l'instabilité des tensions qui ont accompagné la croissance économique de la Chine et de la participation politique dans sa frontière occidentale.
Avec le Tibet, le Xinjiang est une des politiques les plus sensibles en Chine, et dans les deux cas, le gouvernement a cherché à maintenir leur domination par le contrôle de la vie culturelle et religieuse et en même temps, limité la croissance économique et la prospérité.
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